Pour l’instant à froid, elle s’en sentait incapable .Lever son Arme sur un capitaine doublé d’un ami devait nécessiter beaucoup de force …ou d’être véritablement perdue. Mais qui ne l’avait pas été ? Durant ses quelques jours de trahisons et de mensonges à répétition toute la seireitei avait été déboussolée, laissant apparaitre des facettes bien méconnues des shiniamis en poste. Kira par exemple avait montré à quel point il avait des tendances à l’autodestruction, il avait fallut le sangler pour qu’il maintienne un semblant de calme. De rage Hinamori c’était attaquée a un capitaine innocent. Enfin avec un facies comme celui de l’ancien capitaine de la troisieme division on était toujours un peu coupable. Qu’on le veuille ou non .

Soupirant face a toute cette affaire qui remontait dans ses souvenirs comme une nuée d’escargots parcourant ses bras. Elle les chassa d’un mouvement de la main avant d’accélérer le pas. Cela avait eu au moins une conséquence positive, a part le fait d’avoir mis en lumière l’utilité fondamentale et primordiale de sa division. Celle que dés a présent on savait a quoi s’attendre, les ennemis étaient identifiés et certains alliés c’étaient fait connaitre.

Peut être même que bientôt il y aurait des cadavres dans les placards qui viendraient dire bonjour…

Mais pour l’instant elle devait ce concentrer sur le présent, comme le lui faisait trop souvent remarquer sa capitaine, elle laissait son esprit partir dans des raisonnements tels qui finissaient par en être déraisonnables.

Le présent, son présent immédiat était le capitaine Kuchiki. Non pas la peine de rêver mesdames le capitaine Kuchiki était aussi intéressé sentimentalement avec la vice capitaine de la quatrième division que Zaraki l’était avec le point de croix. Tout simplement il s’agissait d’une visite médicale, le capitaine avait subit de nombreuses blessures et ce n’était qu’a elle ou à sa capitaine que revenait le plaisir de s’occuper des capitaines et lieutenants.

Une fois devant la maison des Kuchiki, Isane ne put s’empêcher de l’admirer. Les armoirie de la famille deux oiseaux prêts a s’envoler étaient présent un peu partout et surtout sur le mur d’enceinte, mais ce qui choquait véritablement ce n’était pas ça sa famille avait aussi des armoiries, c’était plutôt la taille du domaine Kuchiki. Il faisait la moitié d’un district du Rukongai et si la maison des invités était d’une taille à peu prés raisonnable celle du maître du domaine était quasiment pareille à une division …

Soupirant quand même car franchement pas rassurée elle entra dans le premier jardin d’intérieur avant de se faire guider par un domestique qui la conduit jusque ce qui semblait être un salon de réception pour invités et elle attendit le maître des lieux…avec une certaine anxiété.